Sommet sur le climat COP27 en Égypte

Le président égyptien Abdel-Fattah El-Sisi inaugurera, lundi, la partie présidentielle de la 27e session de la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur le climat (COP27) à Charm el-Cheikh, avec la participation d’environ 110 personnalités du monde dirigeants, chefs de gouvernement et un groupe de personnalités internationales.

La partie présidentielle de la conférence comprend la tenue de 3 tables rondes de haut niveau, où les dirigeants participants prononceront des discours sur les efforts de leurs pays pour faire face aux répercussions du changement climatique, et 3 tables rondes se tiendront également demain mardi.

Les travaux de la conférence « COP 27 » à Charm el-Cheikh ont débuté dimanche, avec la large participation de responsables et de représentants de plus de 190 pays, ainsi que de chefs d’organisations régionales et internationales concernées par l’environnement, le climat et les affaires financières.

Le ministre des Affaires étrangères Sameh Shoukry a été officiellement élu président de la COP27, succédant au président de la COP26 Alok Sharma, lors de la séance d’ouverture élargie qui a eu lieu hier.

L’Égypte cherche à créer une atmosphère pour exhorter toutes les parties à renforcer la confiance mutuelle grâce à laquelle les résultats que les peuples aspirent à obtenir en ce qui concerne la lutte contre la crise du changement climatique et la prévention de ses catastrophes dévastatrices.

Dimanche, la ville égyptienne de Charm el-Cheikh, sur la mer Rouge, a été témoin du lancement de la conférence des Nations unies sur le changement climatique « COP27 », au milieu des appels croissants aux pays riches pour qu’ils indemnisent les plus pauvres et les plus vulnérables aux conséquences du changement climatique .

On s’attend à ce que la plupart des tensions autour de la COP27 concernent les pertes, les dommages et les fonds d’indemnisation fournis par les pays riches aux pays à faible revenu exposés aux plus grands risques de changement climatique, et qui n’avaient que peu à voir avec les émissions nocives qui ont conduit à le réchauffement climatique.

Les délégués entament un processus de négociation de deux semaines en acceptant l’ordre du jour de la conférence lors d’une séance plénière d’ouverture, au cours de laquelle tous les yeux seront rivés sur la question de savoir si les nations les plus riches accepteront de mettre officiellement la question de l’indemnisation à l’ordre du jour.

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